Dès les années 50 j’ai pris goût à la peinture en autodidacte à coté d’une formation de dessin quelques années plus tard. J’ai poursuivi ce type de pratique en dehors même d’un passage d’une année dans un « atelier » officiel aux beaux arts de Paris ou j’ai fini par opter pour la gravure. J’ai pris et continue a prendre du plaisir dans cette activité en parallèle de la sculpture ou je me suis complètement investi. Mme tournant vers les tendances qui s’offraient à moi. Me plongeant de plus en plus dans le goût de la peinture des autres, de toutes les époques. Un goût que j’ai du hériter de mon père qui, modestement, collectionnait des œuvre. Je sis ce que l’on pourrait appeler un peintre du dimanche. Des dimanches d’un sculpteur.