Créations en « filair »Nées en 1978 d’une sculpture exposée à la défense et sur le plateau Beauboug ou le besoin d’une structure m’a montré que, nécessaire, elle pouvait être suffisante. Ainsi que le révélaient les tracés arachnéens des images de synthèse produites dès 1973 sur le programme « Euclide », économie obligée d’une technique balbutiante alors.Il était tentant de ramener dans la matérialité de notre monde les espaces virtuels projetés sur l’écran de l’ordinateur.Et c’est de cette logique de dessin dans l’espace et dans la rencontre des croquis schématiques d’Albrecht Dürer (des environs de 1500) que je me suis senti à la fois légitimé et héritier de cette pratique.